Adhésion à l’association 20 € par famille
TARIF :
140 € l’année
25 € la sortie
JOUR
Dimanche de 7h00 à 19h00
CALENDRIER DES SORTIES
– dimanche 15 septembre 2024
– dimanche 20 octobre 2024
– dimanche 13 avril 2025
– dimanche 18 mai 2025
– dimanche 15 juin 2025
– samedi 5 et dimanche 6 juillet 2025
DESCRIPTION
Vous aimez le grand air, vous avez envie de profiter de nos belles Pyrénées et de contempler les beaux points de vue qu’elles offrent, vous êtes en assez bonne forme physique ou vous connaissez déjà la marche en montagne et recherchez un groupe pour la pratiquer plus régulièrement, alors venez nous rejoindre pour pratiquer avec nous dans la joie et la bonne humeur.
Les huit randonneurs du jour se sont retrouvés à 6h00. C’est un départ plus matinal que d’habitude, qui nous a permis d’éviter les averses de l’après-midi et les embouteillages de la fin de week-end prolongé.
La montée à la cabane de Quioulès se fait progressivement depuis le barrage de Riète, par un sentier bien tracé qui enjambe plusieurs torrents, en hautes eaux à cette période. La floraison est en cours : euphorbes vert-jaune dont les fleurs se confondent avec les feuilles, jonquilles, des gentianes bleu intense et d’autres plus petites et pales, anémones sauvages, pédiculaires roses …
On arrive bientôt dans une vaste jasse au bout de laquelle se niche la cabane. Le berger et ses troupeaux ne sont pas encore à l’estive, mais un amateur de solitude occupe les lieux. C’est un navigateur de retour d’un tour du monde, randonneur le matin, écrivain l’après-midi. On fait une pause en sa compagnie, puis, le groupe se divise en deux.
Les uns cherchent un endroit agréable pour pique-niquer avant de prendre tranquillement le chemin du retour, tandis que les plus audacieux défient les nuages sombres qui s’accumulent derrière les crêtes, et s’engagent sur la passerelle vers la cabane de la Sabine. Mais l’heure avançant, on ouvre les sacs pour avaler rapidement le casse-croute, en profitant d’un replat offrant point de vue des sommets autour de la jasse qui s’étend en contre-bas. Le ciel, de plus en plus menaçant, nous convainc de redescendre avant d’avoir atteint le but.
Quelques gouttes nous arrosent en chemin, mais nous sommes de retour à la voiture sans encombre sérieuse. Le retour sera direct jusqu’aux Sept-Deniers, car chose inédite, aucun café n’est ouvert le dimanche dans les villages pour boire un verre ensemble.
A bientôt pour de nouvelles ballades,